Cela s'est passé à Guivry le 14 Août 1917
Journal de Jean-François Semblanet (140°RI) :
« Derniers jours de cours (à Guivry). Le matin, interrogation ; l’officier instructeur n’est point terrible car nous avons tous comme note : Bien.
Cet après-midi derniers tirs dont un chargeur en marchant. Le fusil R.C.S. est certes rapide mais les incidents de tir sont fréquents et il s’échauffe tant par suite de la vitesse de chargement que le canon en devient blanc après avoir tiré quelques chargeurs seulement. C’est une constatation… »
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