Cela s'est passé à Guivry le 09 Juin 1917
Journal d’Edouard Coeurdevey :
« Deux journées de travail sans une minute de relâche. Ma main tremble de fatigue et ma tête est lourde. J’ai l’impression que les contrevents sont fermés. Il fait trouble dans mon cerveau et mes idées tâtonnent pour s’orienter.
Aujourd’hui, établissement des situations. Travail laborieux et délicat. Nombreux états à fournir.
Le renfort pour le 417 se prépare, la question de principe sur mon maintien va se poser. »
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