Cela s'est passé à Guivry le 31 Mai 1979
Décès de Cécile Marthe Julienne Bins née à Maucourt en 1909.
Les "gadas", ainsi surnommait-on les habitants de Guivry, ont assisté à de nombreux évènements et bouleversements au cours des siècles. Vous trouverez ici des documents et informations sur l'histoire et la vie actuelle de ce petit village de l'Aisne et de ses habitants.
Cela s'est passé à Guivry le 31 Mai 1979
Décès de Cécile Marthe Julienne Bins née à Maucourt en 1909.
Cela s'est passé à Guivry le 30 Mai 1946
Tir à l’oiseau de la compagnie d’arc de Guivry. Le roi pour cette année est Leon Milan.
Charles Guffroy est Tambour de la compagnie.
Cela s'est passé à Guivry le 29 Mai 1949
La compagnie d'arc de Guivry se rend au Bouquet Provincial de Canly.
Journal La semaine de l’Oise du 07 septembre 1949
« Palmarès du Bouquet Provincial de Canly.
…/…93ème, Tenaillon Guy (Guivry), 20,6. »
Un seul archer de Guivry s’est classé dans les 200 premiers de ce Bouquet.
Cela s'est passé à Guivry le 28 Mai 1950
Nos archers se déplacent au Bouquet Provincial à Cuise-la-Motte.
Cela s'est passé à Guivry le 27 Mai 1928
Nos archers se rendent au Bouquet Provincial de Ham. 120 compagnies sont présentes.
Cela s'est passé 26 Mai 1912
Journal le Réveil de l’Aisne du 31 mai 1912
« Le minerai de fer dans la région de Chauny.
M. Lucien Lefèvre, de Guivry, a bien voulu nous remettre, dimanche dernier (26 mai), une communication qu’il destinait à M. A. Castelin, député de la 2ème circonscription de Laon, et dans laquelle il lui signale en ces termes la présence de gisements métalliques dans la région comprise entre Chauny et Noyon.
Il pourrait être utile d’informer M. Castelin, notre député, que nos collines de Picardie renferment des gisements métalliques que l’on n’avait jamais soupçonnés jusqu’ici ; mais dont j’ai partout reconnu l’existence de chaque côté de la montagne entre Chauny et Noyon.
Comme preuve à l’appui, j’ai l’honneur de lui en remettre ce petit échantillon, qu’il reconnaîtra comme étant bien effectivement du fer.
M. Pol Fondeur, de Viry, qui était au courant de cette découverte aurait certainement fait exécuter des fouilles à l’aide d’une sonde pour reconnaître l’importance de ces gisements si la mort ne l’en avait alors empêché ; et c’est à peu près sur la limite des deux départements de l’Aisne et de l’Oise sur l’accotement de la route entre Beaugies et Crépigny que ces fouilles pourraient se faire avec le plus de chances de succès, parce que le terrain n’y renferme presque pas de pierres et que le minerai s’y rencontre à une assez faible profondeur.
Les deux départements seraient donc également intéressés à cette question, et c’est une excellente raison de plus, pour ne pas oublier non plus celle du chemin de fer depuis si longtemps attendu par ce pays si digne d’intérêt et qui renferme dans son sol tous les éléments d’un brillant avenir industriel.
La composition de ce minerai varie beaucoup selon les endroits où on le trouve, mais à l’endroit où l’on pourrait faire les fouilles, sa teneur en fer me paraît devoir être plus fixe, parce qu’au moment où je l’y ai découvert, lors de la construction de la route, les morceaux, lorsque je les brisais, formaient une cassure brillante semblable à celle d’un morceau de fonte, parce que l’eau des pluies n’était jamais descendue à cette profondeur.
Lucien Lefèvre, à Guivry.
A cette communication étaient joints quelques spécimens de minerais que nous tenons à la disposition des personnes que la question peut intéresser. »