
.Le 31 juillet 1914, la France reçoit l’ultimatum germanique.
Le Kaiser nous donne à choisir entre le déclenchement immédiat des hostilités et l’annexion pure et simple de Toul et de Verdun. La réponse officielle du ministère VIVIANI est le décret de mobilisation générale.
.
.

.
Loin de quitter Verdun par les portes de l’Ouest, le 19ème BCP, aux ordres du commandant MIELET, prend position à la frontière.


.
Affecté à la 42ème division du général GROSSETTI, le bataillon s’installe aux villages de Sponville et de Mars-la-Tour. Devant lui, Metz et les champs de bataille de 1870 qui appellent la revanche.
.


.jpg)

C’est la vie des premières lignes, avec ses escarmouches parfois « glorieuses » :
ainsi Chambley (14 août), où quatre compagnies du 19ème repoussent un bataillon
entier.
.jpg)




.
Le 19 août, l’ordre est donné de faire mouvement. La division s’ébranle vers le
nord. Puisque l’armée allemande traverse la Belgique, les forces disponibles vont
l’attaquer de flanc. Chargé d’ouvrir la route à cette contre-offensive, le 19ème n’a
pas une minute de repos. Près de Xivry-Circourt, le 21 août, les chasseurs bousculent deux bataillons ennemis, appuyés par du canon.
nord. Puisque l’armée allemande traverse la Belgique, les forces disponibles vont
l’attaquer de flanc. Chargé d’ouvrir la route à cette contre-offensive, le 19ème n’a
pas une minute de repos. Près de Xivry-Circourt, le 21 août, les chasseurs bousculent deux bataillons ennemis, appuyés par du canon.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire